Playtime 1 - 10 Pure 70s Jazz Funk Tracks . . .
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PlayTime ravit les hystériques de ce bon vieux son Jazz-funk des années 70 Vous découvrirez, parmi les plus belles versions, d’incontournables classiques restés trop souvent méconnus du grand public, tels que « 3 Days of the Condor » (Dave Grusin), réinterprété par les Rythm Heritage ou encore « Too High » de Stevie Wonder incroyablement repris par Joe Farrel. Entre solo de guitare, de Fender-Rhodes, ou duo basse batterie, la compilation Playtime vous transportera de la frénésie d’un dance-floor jazz-funk aux ambiances feutrées de mythiques clubs de jazz qui furent les partenaires indissociables de nombreuses nuits blanches.

Playtime 2 -- 9 Pure Latin Soul & Boogaloo Tracks
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De Puerto-Rico à Cuba, de Caracas à New-York, vous découvrirez la diversité musicale afro-cubaine plus connue sous le nom de Salsa. Titre « Musica del Alma » exécuté par le duo Tito Ramos et Tony Royas (TNT Boys) est une reprise du célèbre « Tighteen Up » d’Archie Bell & The Drells qui incarne parfaitement l’atmosphère soul et rythm & blues émanant des rues de Spanish Harlem de l’époque. On ne présente plus Tito Puente qui interprète ici « Safari » de Nick Jimenez. Ses influences jazz et sa façon de diriger ses orchestres font de lui le personnage incontournable de la musique latine, du cha-cha-cha au mambo, du boogaloo à la Salsa. Tito Puente a influencé toute une génération de musiciens. Egalement dans cette sélection le titre « Headstrong » de Francisco Aguabella, percussionniste de renom arrivé en Californie en 1957 qui collabora notamment avec Willie Bobo et Carlos Vidal. Beaucoup d’autres Surprises vous attendent sur cette seconde compilation Playtime.

Playtime 3 - 14 Tracks Of Pure 70s Funk & Soul . . .
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Tous les titres sont extraits de 45 tours d’époque et dans l’esprit funk seventies. Complètement vouée au dance floor, cette compilation funk et rare-groove est un concentré de funk en boîte. La Playtime 3 est idéale pour les connaisseurs en quête de petites merveilles, pour les amateurs de rare groove et les fanas de James Brown. On connaît, par exemple, la division TK records pour la Disco, on se souviendra maintenant de Cat Records pour la mellow-soul… La playtime 3 nous fait passer du Groove le plus rare, avec Alvin Cash ou Charles Leonard, au Jazz-funk le plus pur avec Eddy Drennon. Elle contient des titres plus psychédéliques et un titre furieux de pur funk. Amateurs de Funk : Back to the Dance Floor !

Playtime Vol 4 - Pure 70s Jazz Funk Tracks . . .
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Face à l’impact des compilations PLAYTIME : vol.1 Jazz-funk, vol.2 Latin-Soul, vol.3 Soul-funk, Hi&Fly records vous présentent le quatrième volume consacré au jazz-funk, toujours irréprochable et irréductible, elle répond par la même à l'enthousiasme grandissant du public pour ce style musical.
Les compilations Playtime n’ont eu de cesse de s’améliorer.
Raison pour laquelle Hi&Fly Records à pour cette dernière fait appel à Juan.
Sélecteur émérite et consommateur inapaisable de microsillon, détenteur d’une collection de disques renfermant de véritables perles. Sa mission sera d’amener à l’échellon supérieur les prochaines compilations PLAYTIME.
Chaque titre de ce nouvel opus a pour but de nous remémorer une époque où le Dj passait une bonne partie de son temps à la recherche du Perfect-Break pouvant transcender les Dance-floors.
Le Jazz, la Funk, la Soul sont les adjectifs appropriés pour définir cette compilation.
Un mastering de qualité, une pochette soignée, au service d’une sélection subtile et appliquée. Chez soi, en radio ou sur une piste de danse, l’émotion est garantie.

The Lafayette Afro-Rock Band "Soul Makossa"
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Bien plus qu’un projet musical, c’est à l’initiative du producteur Français, Pierre Jaubert que ce projet a vu le jour. Oscillant entre expérimentation musicale et respect des traditions, Soul Makossa incarne cette fusion entre l’AfroFunk, ces rythmiques, son mysticisme et un rock made in USA.
Lors de la première écoute et au-delà des prouesses techniques des musiciens, une sensation étrange vous anime, s’il vous est difficile de la décrire, ne cherchez plus ! Il s’agit d’un rite. Titre après titre, vous serez initiés.
The Lafayette Afro Rock, sept musiciens : Lafayette Hudson, Arthur Young Donnie Donable de Roger Butaccavoli, originaire de Long Island NY, depuis peu exilés en France sont d’une imagination déroutante. Ils sauront attirer votre attention et attiser votre curiosité pour à terme vous guider tout au long de ce voyage à travers l’Afrique et ses paysages musicaux.
The Lafayette Afro Rock Band est la preuve qu’audace et créativité sont le moteur incontestable de l’Afro-funk.

Quelques titres :
Soul Makossa –force, puissance, hymne guerrier.

Azeta : les turpitudes d’une ville, les inlassables et répétitifs événements de la vie, le temps file annonçant le crépuscule.

MF Grayson : jeunesse et insolence, fraîcheur et gaîté d’un après-midi de Jeux.

Oglenon : les battements de cœur d’un peuple en marche vers l’exode dont le leader serai une guitare.

Right foot : Développement et ardeur d’un continent. Lorsque la tradition se heurte à la modernité.

Bonne Ecoute

The Lafayette Afro-Rock Band "Malik"
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Connu aussi sous le nom de Ice, le Lafayette Afro Rock Band fut, avec Cortex, un des rares groupes jazz-funk de France, bien que formé aux Etats-Unis. Sous la houlette du talentueux producteur Pierre Jaubert (qui produisit quelques années après « La Boum » !), le guitariste Michael McEwan , le bassiste Lafayette Hudson, le pianiste Frank Abel, les cuivres Ronnie James Buttacavoli et Arthur Young, le batteur Ernest "Donny" Donable ainsi que les percussionnistes Keno Speller et Arthur Young enregistrèrent une série d’albums énergiques et tendus, donnant à écouter un mélange de jazz, de rock et de jazz peu commun au pays de Mike Brant.
Malick, deuxième album de leur carrière, est conforme à leur son : l’enregistrement est rugueux, bien loin des standards disco qui commencent alors à s’imposer. On est plus proche dans l’esprit de Fela Kuti ou de Brian Auger que de Minnie Riperton. Les titres s’étendent sur la longueur, pour faire part soit à des solos respectifs de chacun des musiciens sur certains titres, soit à une musique répétitive et tendant vers la transe. Les compositions sont pour la plupart instrumentales et de haute tenue. On y trouve tout de même quelques titres imparables, tels « I Love Music », inédit dancefloor imparable, à classer dans les meilleurs titres jazz-funk jamais composés, « Darkest Light », classique du break au mid tempo hypnotique, samplé entre par Public Enemy, « Malik », explosion de notes, et dont l’aggressivité très « raw funk » fait penser au son anglais des groupes sixties. Ce disque est à conseiller autant à l’amateur de jazz qu’au dj de break en passant par le passionné de funk, et ceci en vous évitant d’aller chercher l’original, difficile à trouver et de plus hors de prix.
On se met à regretter l’époque où le groupe se produisait régulièrement dans les clubs de Barbès…

Vincent Godard